Coups de cur
Cliquez sur le logo «é» pour accéder au PDF complet de ce numéro de la revue sur le portail Érudit. |
VOLUME 41, N° 2, AUTOMNE 2018 |
Rogé (ill.), Bagages, mon histoire. Poèmes de jeunes immigrants, La Bagnole, 2018 D’une simplicité désarmante, ces poèmes nous touchent droit au cœur. Les portraits de ces jeunes, dessinés par Rogé, nous montrent encore une fois toute leur humanité et leur sensibilité. (D. C.) |
||
Marianne Dubuc, Le chemin de la montagne, Comme des géants, 2017 Encore une fois, Marianne Dubuc a réussi à nous charmer avec Le chemin de la montagne. Doux, tendre et profond en même temps. Une lecture dont on ne se lasse pas. (D. C.) |
||
Simon Boulerice, La gardienne du musée, La Bagnole, 2018 Il s’agit d’un extravagant voyage dans les œuvres d’art des grands musées du monde, illustré par Lucie Crovatto. (F. S.) J’ai été si ému : Boulerice et Crovatto m’ont remémoré cette leçon de Saint-Exupéry : on ne voit bien qu’avec le cœur. Croyez bien que je ferai lire cette histoire à beaucoup de gens. (S. C.) |
||
Yves Nadon, Mon frère et moi, D’eux, 2018 Le texte touchant qui fait appel à tous nos sens est magnifié par les fines illustrations réalistes de Jean Claverie. L’exemple d’une parfaite collaboration entre le texte et les illustrations. (C. R.) |
||
Angèle Delaunois, Je suis belle!, L’Isatis, 2018 Les fillettes ne sont pas des ornements. Elles sont belles dans leur vitalité, leur générosité, leurs rêves, leurs jeux et leur expressivité. C’est ce que clame joyeusement tout le livre! (I. C.) |
||
Carole Tremblay, La soupe aux lentilles, La courte échelle, 2018 Cette année, la qualité était au rendez-vous, et faire un choix a été déchirant. Partagée entre l’humour, l’émotion ou le propos engagé, j’ai opté pour La soupe aux lentilles. (R. L.) |
||
Pascale Bonenfant, Lou, à compte d’auteure, 2018 Une lecture douce comme un matin de printemps. Écrite tout en finesse et en poésie, illustrée par Valérie Boivin, cette histoire d’amour m’a fait palpiter le cœur. (M. F.) |
||
HAUT |
VOLUME 42, N° 2, AUTOMNE 2019 |
Isabelle Arsenault (ill.), L’abeille à miel, La Pastèque, 2018 En véritable hommage à l’abeille, l’album paru à La Pastèque permet aux jeunes et moins jeunes de s’initier au travail acharné de ces insectes au fil des quatre saisons. (R. dR. R.) |
||
Stéphanie Lapointe, Jack et le temps perdu, Quai n° 5, 2018 La place laissée aux silences dans le texte, tout comme les illustrations de Delphie Côté-Lacroix, rendent avec une rare délicatesse l’émotion vécue par les personnages. (M. F.) |
||
Orbie, La corde à linge, Les 400 coups, 2019 Comme dans une pièce de théâtre, le jeune héros se raconte à nous sans détour dans un propos quasi philosophique : tomber ou ne pas tomber. (F. S.) L’album est très visuel. On peut suivre l’histoire sans la lire, car on reconnaît tout de suite l’essence de chaque scène. Tout est esquissé en quelques traits fins. (R. L.) |
||
André Marois, Moi, c’est Tantale, L’isatis, 2018 La puissance de ce roman graphique publié dans la collection «Griff», chez Isatis, est de conscientiser le lecteur. Les illustrations sobres et percutantes de Julien Castanié appuient la force du texte. (C. R.) |
||
La collection «Griff», éditions de l’Isatis En 2017, L’isatis a créé la collection «Griff». On y trouve à ce jour quatre albums chocs qui s’interrogent sur notre société et font réfléchir les adolescents sur le monde d’aujourd’hui. (D. C.) |
||
François Gravel, Branchez-vous! et autres poèmes biscornus, Les 400 coups, 2019 Le prolifique lauréat du prix Raymond-Plante a choisi de s’attaquer à différents pièges et singularités de la langue française pour en tirer matière à s’amuser et à rire. (I. C.) |
||
HAUT |
VOLUME 43, N° 2, AUTOMNE 2020 |
Nadine Robert, L’éléphant de l’ombre, Comme des géants, 2019 Nadine Robert signe un texte d’une grande beauté, porté par une sensibilité et une délicatesse peu communes. (M. F.) |
||
Jacques Goldstyn, Les étoiles, La Pastèque, 2019 Alors qu’à certains endroits, les illustrations présentent de subtils clins d’œil, à d’autres, elles s’avèrent d’une éloquence qui se passe de mots. (M. T.) |
||
Véronique Drouin, Rivière-au-cerf-blanc, Québec Amérique, 2019 L’écriture rythmée allie les scènes d’action efficaces, les descriptions évocatrices et une galerie de personnages riches. (S. Mi.) |
||
Andrée Poulin, Enterrer la lune, La courte échelle, 2019 Quel choix judicieux que celui de l’écriture en vers libres, qui scande les évènements, insuffle une puissance à chaque mot. (C. R.) Tout dans cette œuvre a été pensé avec soin pour nous faire réfléchir et mieux comprendre notre monde. (D. C.) |
||
Julie Morstad, Un jour tout neuf, Comme des géants, 2019 L’originalité du propos tient justement à cet impressionnant éventail de possibilités tout aussi libres qu’arbitraires. (F. S.) |
||
Christiane Duchesne et Jérôme Minière, Un pique-nique au soleil, Quand on sait qu’on ne se lassera jamais de lire et relire un album, c’est qu’il réunit des qualités littéraires et un envoûtant pouvoir d’évocation. (R. L.) |
||
Marie-Andrée Arsenault, Des couleurs sur la Grave, Et toujours, partout, cette dentelle qui joue le rôle de l’écume ou des nuages. Un trésor sur la Grave. (D. S.) |
||
HAUT |
VOLUME 44, N° 2, AUTOMNE 2021 |
Gilles Tibo et Geneviève Després, Voyages autour de mon cœur, Oh! comme il est agréable d’entreprendre tous ces Voyages! Dans cet album, c’est l’illustration de Geneviève Després qui surtout émerveille. (F. S.) |
||
Jacques Goldstyn, Le tricot, La Pastèque, 2020 Avec Le tricot, Jacques Goldstyn offre sans doute son album le plus lumineux, sensible et personnel. (M. F.) La sensibilité de Goldstyn et la complémentarité entre le texte et les illustrations nous plongent au cœur de la transmission entre les générations. (S. Mi.) |
||
Rémy Simard, Mon Teddy à moi, La Bagnole, 2021 Les illustrations animées et pétillantes de Rémy Simard, ses personnages expressifs ont besoin de peu de mots pour se rendre aussi drôles qu’attachants. (I. C.) |
||
Éric Dupont et Mathilde Cinq-Mars, Nos oiseaux, Mathilde Cinq-Mars magnifie ce traité par ses illustrations minutieuses, d’un grand réalisme. Un superbe album pour petits et grands. (C. R.) |
||
Eric, Devin et Terry Fan, Le projet Barnabé, Scholastic, 2020 Oh, Barnabé! Comme j’aurais voulu te libérer, toi et tes petits amis, pour réaliser ton rêve et t’amener contempler les étoiles. (S. C.) |
||
Marie-Andrée Arsenault et Catherine Petit, Un chemin dans la mer, L’expression «coup de cœur» prend tout son sens avec Un chemin dans la mer de Marie-Andrée Arsenault, parce que c’est à notre sensibilité qu’il s’adresse. (R. L.) |
||
François Blais, Lac Adélard, La courte échelle, 2019 Aucune des figures imposées ne se trouve dans Lac Adélard; ça n’en donne pas moins un excellent et captivant roman, et cela en soi est rafraîchissant. (D. S.) |
||
HAUT |
VOLUME 45, N° 2, AUTOMNE 2022 |
Daniel Laverdure et Jean Morin, La bête et la belle, Soulières éditeur, 2022 C’est agréable de lire un conte traditionnel dans des mots nouveaux et d’y retrouver la magie et la folie de l’impossible. (F. S.) |
||
Raymond Lévesque et Pierre Pratt, Quand les hommes vivront d’amour, Les 400 coups, 2021 Hymne à l’espérance, à l’espoir d’une humanité plus chaleureuse et d’un monde sans misère, la chanson de Raymond Lévesque se dévoile avec une infinie beauté dans cet album. (M. F.) |
||
Jean-Paul Eid, Le petit astronaute, La pastèque, 2021 Il y a des livres qui nous touchent profondément et dont la lecture ne nous laisse pas indemne. On a l’impression de tenir entre nos mains un petit chef-d’œuvre... (C. R.) |
||
Nathalie Lagacé, Le poids des seins, L’isatis, 2021 Une œuvre forte, à lire et à offrir, dont on se souvient longtemps après avoir tourné la dernière page. (S. Mi.) |
||
Pierrette Dubé et Aurélien Galvan, La boîte aux lettres, La courte échelle, 2021 Plein de tendresse, de complicité et d’espièglerie, l’album est une joie à découvrir et à relire, encore et encore, comme un billet doux qu’on garde dans sa boite à trésors. (S. C.) |
||
Terry et Eric Fan, La merveille, Scholastic, 2022 C’est beaucoup en tant qu’adulte que j’ai pris plaisir à cette représentation de l’univers de l’enfance et de cette mini société. (R. L.) |
||
Marion Arbona, À travers les fenêtres, Les 400 coups, 2022 Un album de très grand format, tout en noir et blanc, que les petits comme les grands prendront plaisir à explorer longtemps, est une superbe ode à l’imaginaire. (I. C.) |
||
Wallace Edwards, Sur ma route, Scholastic, 2021 En littérature jeunesse, il y aurait donc encore de la place pour le plaisir, le simple plaisir des yeux, sans thèse et sans manifeste. (D. S.) |
||
HAUT |
COUPS DE CURS • 01 • 02 • 03 • 04 • 05 • 06 • 07 |