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Rogé (ill.), Mingan mon village, 2012, La Bagnole
J'ai eu un immense coup de cœur pour ce superbe album, recueil de poèmes créés par des enfants de Mingan lors d'ateliers d'écriture dirigés par les poètes Laure Morali et Rita Mestokosho. Ils sont accompagnés de portraits d'enfants du village, réalisés avec une grande sensibilité par Rogé. (CR) |
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Rhéa Dufresne, Aujourd'hui, le ciel, 2012, L'Isatis
C'est le travail dessiné de Jacinthe Chevalier pour ce petit album qui m'inspire ce coup de cœur. La force suggestive de l'illustration, qui troque son trop plein de réalisme contre la pure fantaisie, me réjouit. (FS) |
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Pierre Labrie, Nous sommes ce continent, 2012, Soulières éditeur
Ce sont les mots, la manière, la poésie de Pierre Labrie dans Nous sommes ce continent, un livre sur l'adolescence comme il y en a peu, qui ont supplanté toutes mes autres lectures de 2012. (MF) |
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Gilles Tibo, Geneviève Després (ill.), Le
petit chevalier qui n'aimait pas la pluie, 2011, Imagine
Avant même de remporter le Prix Québec/Wallonie-Bruxelles 2013, cet album était l'un de mes coups de cœur. [...] Outre la couverture et la succulente histoire, la plume de Gilles Tibo, reconnu pour marier habilement l'action, l'humour et la tendresse, est tout aussi séduisante. (NF) |
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Susin Nielsen, Les maux d'Ambroise Bukowski, 2013, La courte échelle
Ah, l'humour intelligent! Si délicieux à lire et malheureusement trop rare en littérature jeunesse. (AP) |
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Émilie Rivard, Vrai de vrai, papi?, 2011, Bayard Canada Livres
Grand-père possède une imagination débordante, et il invente pour son petit-fils des histoires où pirate, sorcière et gnome peuplent sa demeure. Une relation remplie de complicité. (CR) |
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Élise Gravel, La mouche et Le ver, 2012, La courte échelle
Enfin, des documentaires rigolos et intelligents pour les petits… Cette année, Élise Gravel nous a concocté deux titres vraiment savoureux, qui amorcent la nouvelle collection «Les petits dégoûtants». (DC) |
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Kyo Maclear, Isabelle Arsenault (ill.), Virginia Wolf, 2012, La Pastèque
J'aime les livres qui donnent le goût de relire les grands auteurs et l'occasion de les faire découvrir aux enfants. (MR) |
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Fabrice Boulanger, Ma sœur veut un zizi, 2012, La Bagnole
L'œil se régale du dessin coloré, net et expressif de Fabrice Boulanger, des bouilles rigolotes de ses personnages, de l'humour qui baigne texte et illustration. (DS) |
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Sabrina Baran, Ondin, création de l'Illusion, théâtre de marionnettes
Deux fois plutôt qu'une, durant la dernière année, mon cœur de critique s'est laissé toucher par des propositions artistiques pour les enfants, remarquables par leur aspect innovateur et achevé. Ondin révèle un univers entièrement aquatique, enveloppant autant qu'envoûtant. (RB) |
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Jean-Frédéric Messier, Corbeau, création du Théâtre de l'Œil
Pour illustrer ce conte magique et coloré, l'équipe de conception de l'Œil a mis tous ses talents à contribution : les superbes marionnettes et la scénographie de Richard Lacroix, la maîtrise inouïe des marionnettistes, contribuent à faire de Corbeau une réussite éclatante. (RB) |
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Marianne Dubuc, Le lion et l’oiseau , 2013, La Pastèque
Coup de cœur, coup de foudre, coup d’émoi, je les ai tous eus cette année chaque fois que je découvrais un nouveau titre de la talentueuse Marianne Dubuc. (MF)
Une histoire riche en intériorité, avec ses petits mots parsemés çà et là et une imagerie d’une grande intensité. Une œuvre de haut calibre! (FS) |
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Marianne Dubuc, Le lion et l’oiseau , 2013, La Pastèque
C’est un album riche, profond, intelligent et audacieux, qui nous parle de la vie et de l’amitié avec sensibilité. À lire et relire avec toujours autant de plaisir! (DC)
Marianne utilise judicieusement la blancheur de la page, comme des silences qui mettent en valeur un élément, une émotion. Magnifique album d’une tendresse infinie. (CR) |
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Nadine Robert et Brigitte Henry (photos), Le poisson frais, 2014, La Pastèque
Simple en apparence, ce récit fait sourire et réfléchir sans dicter de morale, mais en enseignant la nuance… Nadine Robert possède l’art d’exprimer subtilement les travers humains, (MR) |
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Émilie Leduc, Un oiseau entend, Un panda tricote, Une chèvre mange, Un ours invite, 2013, La courte échelle
Le dessin vaporeux, les compositions tout en mouvement, les images finales qui montrent toutes une ronde ou une fête… tout cela réjouit l’œil et l’esprit. (DS) |
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Susin Nielsen, Ma vie (racontée malgré moi) par Henry Larsen, 2014, La courte échelle
Le roman a été couronné du Prix du Gouverneur général du Canada dans sa version originale. Les protagonistes sont d’une grande authenticité dans leurs rapports entre eux. (M. T.) |
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Sampar (Samuel Parent), Le piège, 2014, Éditions Michel Quintin
J’appréciais déjà Sampar pour les œuvres qu’il avait réalisées en duo avec Alain M. Bergeron. La série BD «Guiby», sa première production en solo, fut un énorme coup de cœur pour moi. (M. T.) |
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Jacques Goldstyn, L’arbragan, 2015, Éditions de La pastèque
Jacques Goldstyn nous a concocté un magnifique album dans lequel il nous propose de jeter un regard sur la vie dans un village […]. Dans cet album, les mots et les illustrations se marient pour créer un effet d’innocence enfantine. (D. C.)
Il faut savoir gré à l’auteur-dessinateur, ainsi qu’à son éditeur, d’avoir fait fi de la prudence, du réalisme et de la rectitude, pour nous faire cadeau d’un album serein, au propos léger. (D. S.) |
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Marianne Dubuc, L’autobus, 2014, Comme des géants
Marianne Dubuc capte l’instant, le savoure, comme le font les enfants. Sa plume délicate, son crayonné minutieux font honneur à la simplicité dans laquelle se trouvent des instants précieux. (M. F.) |
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André Marois, Patrick Doyon (ill.), Le voleur de sandwichs, 2014, Éditions de La pastèque
Autre émoi, un roman graphique qui se situe à la jonction de la bande dessinée et du livre illustré, dans lequel tout contribue à stimuler notre plaisir de lire. Un mélange heureux de quotidienneté, d’amitié, d’humour et d’intrigue. (M. F.) |
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Christiane Duchesne, Pierre Pratt (ill.), Moi, mon chat, 2015, Éditions de La Bagnole
Il y a quelque chose de personnel et d’intime à lire un texte écrit au «je». Surtout quand le propos est doux. J’aime surtout la façon délicate qu’a toute cette histoire illustrée de faire son chemin jusqu’à nous. (F. S.) |
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Renée Robitaille, Philippe Béha (ill.), Douze oiseaux, 2015, Éditions de La Bagnole
Dans l’écriture de Renée Robitaille, on perçoit tout son talent et son expérience de conteuse. Douze oiseaux, avec ces transformations de mots basées sur leur sonorité, avec son rythme insufflé par ses rimes, prend toute sa saveur lorsqu’il est lu à voix haute. (C. R.) |
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JonArno Lawson, Sydney Smith (ill.), Les fleurs poussent aussi sur les trottoirs, 2015, Bayard Canada Livres
Une œuvre sans texte qui raconte silencieusement, dans une suite d’images d’une grande éloquence, le parcours à travers la ville d’une petite fille et d’un adulte. Un bel album sur la force de la nature et de la bonté. (M. R.) |
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Renée Robitaille, Éloïse Brodeur (ill.), La journée des pets et des rots, 2014, Éditions
Planète rebelle
Pour une rigolade retentissante en famille d’abord, une histoire pétillante et impertinente de la conteuse Renée Robitaille. Une histoire bien racontée de tendresse, d’intimité joyeuse et de liberté en famille. (I. C.) |
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Pierre Lapointe, Catherine Lepage (ill.), Le tragique destin de Pépito, 2016, Comme des géants
Peu d’albums créent de l’émoi, bousculent les repères, provoquent des discussions autant que Pépito. On a adoré, souvent, on a moins aimé peut-être, mais on en a parlé. (M.F.) |
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Christine Baldacchino, Isabelle Malenfant (ill.), Boris Brindamour et la robe orange, 2015, Bayard Canada livres
Malenfant dépeint à merveille les émotions des personnages; que de tendresse dans le regard que s’échangent Boris et sa mère! Une superbe histoire, tout en subtilité, qui parle d’exclusion et surtout d’acceptation.
(C. R.) |
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Jacques Goldstyn, Le prisonnier sans frontières, 2016, Bayard Canada livres
J’aime que, dans une histoire, tout ne soit pas formulé et qu’on puisse lire entre les lignes, entre les images et apprécier toute la subtilité de sens.
(F. S.)
Des illustrations aux traits vifs, avec des touches d’aquarelle, portent un regard à la fois poétique et réaliste sur une sombre réalité. (D. C.) |
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Andrée Poulin, Marie Lafrance (ill.), Deux garçons et secret, 2016, La bagnole
Deux garçons… est une réflexion sur les préjugés que transmettent les parents. Andrée Poulin y fait montre d’une économie de mots délibérée, laissant les illustrations jouer un grand rôle. Le tout s’achève sur une note émouvante. (S. C.) |
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Philippe Soldevila, Conte de la neige, création du Théâtre des Confettis
J’ai été particulièrement touché et transporté par ce spectacle. De l’ensemble de la production se dégageait une belle cohérence, au service de la réflexion, qui passait à travers l’émotion transmise par le jeu bien investi des trois interprètes. (R. B.) |
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André Marois, Pierre Pratt (ill.), 2016, Aux toilettes, Druide.
Quelle idée originale ! Marois et Pratt ont créé un album dans lequel humour et fantastique s’allient pour faire rire les petits et les grands. (D. C.)
La magie opère! Pour illustrer ce texte qui nous replonge directement dans les odeurs de l’école, l’éditeur a choisi le talentueux Pierre Pratt. Ses lignes dynamiques se marient à merveille à cette histoire un peu folle où la rêverie est à l’honneur. (N. F.) |
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Pierrette Dubé, Marie-Eve Tremblay (ill.), Tarzanette et le roi du petit déjeuner, 2016, Les 400 coups
Comme coup de cœur, j’opte pour l’humour intelligent, à saveur sociale, de Pierrette Dubé. Les illustrations de Marie-Ève Tremblay sont joyeuses et reflètent la candeur des poulettes. (R. L.) |
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Fanny Britt, Isabelle Arsenault (ill.), Louis parmi les spectres, 2016, La Pastèque
La douceur et la beauté qui se dégagent de cette histoire en font un chef-d’œuvre – oui oui, un chef-d’œuvre – littéraire et graphique, une bouffée d’espérance envers l’humanité. (M.F.)
Britt et Arsenault racontent une étape de la vie de Louis avec poésie, douceur et justesse, tant dans les mots que dans les illustrations. Un récit lumineux qui éclaire une sombre réalité. (D. C.) |
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Louis Émond, Steve Adams (ill.), La belle histoire d’une vieille chose, 2016, La Bagnole
Le grand format de l’album sied à merveille à cette œuvre, une des trop rares illustrées par Steve Adams. Il nous offre des illustrations qui traduisent magistralement l’émotion et la poésie du texte. (C. R.)
Coups de cœur impressionnistes, cette année : la mémoire sollicitée, celle des souvenirs d’enfance, celle des souvenirs imaginaires. (D. S.) |
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Isabelle Arsenault, L’oiseau de Colette, 2017, La Pastèque
Un magnifique éloge à l’imaginaire qui s’intensifie à chaque rencontre, jusqu’à l’envolée finale. (C. R.)
Le texte, dont la structure répétitive en crescendo est très efficace, reflète admirablement la spontanéité des enfants. (R. L.) |
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Michel Thériault, Magali Ben (ill.), Ils sont…, 2017, Bouton d’Or Acadie
Tout simple et cependant si efficace! L’album est doux comme les courbes données à la calligraphie de certaines phrases, comme les nuances de l’aquarelle en doubles pages de l’artiste. (F. S.) |
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Philippe Béha, Bleu, 2017, L’Isatis
Les images de Béha parlent aux enfants. Ce sont des images qui les fascinent, les intriguent et qui sollicitent leur imaginaire. (I. C.)
Et cette poésie de toutes les pages, autant celle des images que celle des textes. Chapeau, Béha ! (D. S.) |
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Nadine Poirier, Amélie Dubois (ill.) La peine de Sophie-Fourire, 2016, Les 400 coups
Un livre exceptionnel qui aidera les jeunes lecteurs à éveiller leur empathie, à comprendre le chagrin face à la perte d’un proche et, peut-être, à franchir les étapes vers le retour de leur sourire. (S. C.) |
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Jean-François Sénéchal, Le boulevard, 2016, Leméac
Jean-François Sénéchal a écrit cette œuvre avec finesse et sensibilité. Il a trouvé l’équilibre fragile entre une écriture d’une qualité littéraire indéniable et une voix narrative très juste. (D. C .) |
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Nadine Poirier, Claude Dubois (ill.), 2016, Le jardinier qui cultivait des livres, D’Eux
Le texte est d’une grande finesse. Les illustrations à l’aquarelle sont magnifiques et rappellent celles de L’homme qui plantait des arbres. (R. L.) |
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Pascal Blanchet, En voiture !, 2016, La Pastèque
Ces pages de pur plaisir dans le style streamline ou art déco, en beige et brun. (D. S.) |
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Eric Fan, Terry Fan, Le jardinier de la nuit, 2017, Scholastic
«Les frères Fan» : ça ne s’invente pas, un nom pareil. Terry Fan, comme dans fantaisie, Éric Fan, comme dans fantastique. Sortis de rêves qu’on souhaiterait avoir, ces arbres et ces buissons taillés au clair de lune… (D. S.) |
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