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Martine Latulippe. Lorian
Loubier, superhéros, 2002, Dominique et compagnie.
«Martine Latulippe a écrit un texte dynamique à l'humour efficace. Les enfants l'adorent et rient de ses descriptions, de ses mises en situation rigolotes, des réflexions du jeune héros sur son père, sur son entourage et sur lui-même.» (DC) |
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Suzanne Lebeau. Petit
Pierre, pièce présentée par Le Carrousel
à la Maison Théâtre.
«Voici une belle histoire inspirée de la vie réelle de Pierre Avezard, un homme laid qui a fait de sa vie une uvre d'art. Touchant. La production d'une rigueur exemplaire misait essentiellement sur le texte, mais comportait aussi une scénographie ingénieuse et poétique.» (RB) |
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Marie-Danielle Croteau, illustrations de Rogé. Un
gnome à la mer, 2002, Dominique et compagnie.
«Un gnome à la mer c'est un hommage au pouvoir de l'imaginaire, l'histoire prenante d'une amitié extraordinaire et aussi, à l'arrière-plan, le portrait d'un papa discret mais véritablement sensible, complice et attentif à son fiston.» (IC) |
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Marie-Francine Hébert, illustrations de Steve Adams. Mon
rayon de soleil, 2002, Dominique et compagnie.
«J'ai tout d'abord été séduite par les illustrations
tout en rondeur qui expriment si finement la tendresse unissant Luca
et sa mère. Puis je suis tombée sous le charme des mots
de Marie-Francine Hébert. Ces mots empreints de poésie
qui, dès la première page, créent une complicité
entre le narrateur et le lecteur.» (CR)
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Élise Turcotte, illustrations de Daniel Sylvestre. Puce.
C'est bizarre et Puce.
C'est sale, 2003, La courte échelle.
«Ce qui me frappe au premier abord, c'est le tracé élégant du pinceau qui encercle les formes. Un tracé qui me fait imaginer l'outil et le geste: un probable pinceau à poils souples et un doigté aussi précis que délicat font vivre ce minuscule personnage.» (FS) |
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Guillaume Bourgault. Philippe
avec un grand H, 2003, Vents d'Ouest.
«Les gais ou les bisexuels comptent pour plus de 60 % des
jeunes hommes ayant tenté de se suicider. Imaginons que Philippe
avec un grand H tombe sous les yeux d'un adolescent vacillant au
bord du gouffre qui lui semble peut-être la seule sortie envisageable,
et que le livre éveille en lui une lueur d'espoir. Si de cette
manière le roman sauvait des vies, ne serait-ce qu'une vie, il
aurait valu toute la persévérance et le courage qu'y a
mis Guillaume Bourgault.» (DS)
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Marie-Francine Hébert, illustrations de Janice Nadeau.
Nul poisson où aller, 2003, Les 400 coups.
«Peut-on parler doucement de la guerre? En lisant Nul poisson
où aller, on ne peut que répondre: oui. C'est le paradoxe
bouleversant de ce récit, de ses images et de ce titre étrange
que d'établir avec douceur une atmosphère où pèsent
la violence, la menace et l'anxiété d'une guerre sans
nom, l'incompréhension d'une fillette dont l'univers tient à
un poisson dans un bocal qu'il faut sauver du délire d'ennemis
hier familiers.» (GL)
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Francis Monty. Romances
& Karaoké, pièce présentée à
la Maison Théatre par le Théâtre Le Clou, mise en
scène de Benoït Vermeulen.
«Rarement ai-je vu une telle osmose entre la scène et la salle que lors de la représentation de cette pièce énergique énergisante. Des personnages bien campés, une histoire pleine de bruit, de cris, de diversions, éclatée à l'image de la vie des jeunes d'aujourd'hui.» (RB) |
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Gilles Tibo. La
bataille des mots, 2004, Soulières éditeur.
«Dire que Tibo a le sens du récit est un euphémisme. Le découpage de son intrigue est un modèle en soi, offrant une gradation experte du suspense, où chaque chapitre a son hameçon et son punch. Pas un seul mot de trop, pas un seul temps mort. Et cette fabuleuse finale!» (AP) |
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Caroline Merola. Le
voyage des reines, 2003, Les 400 coups.
«Caroline Merola nous sert de façon bien appétissante cet enlevant conte de filles. Les six reines qu'elle a dessiné sont belles, sensuelles et différentes. Entre les lignes, comme dans ses images pleines de mouvement, elle a su dépeindre leur formidable connivence et la dynamique résolution dont elles feront montre pour se faire une nouvelle vie.» (IC) |
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Sylvie Roberge Blanchet, illustration de Pascal Constantin. Turlututu
rien ne va plus!, 2003, Les 400 coups.
«Dans Turlututu rien ne va plus! l'impossible traverse
les barrières du raisonnable et conduit l'aventure de la lecture
jusqu'au bout, jusqu'à la dernière page, là où
la conclusion du récit se transforme en quelque chose de beau
et de calme.» (FS)
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Marie-Louise Gay. Stella,
princesse de la nuit, 2004, Dominique et compagnie.
«J'aime la complicité de Stella et de son petit frère Sacha, la candeur et la logique enfantine de leurs dialogues, le regard poétique qu'ils posent sur le monde : le soleil qui met son pyjama rouge et qui se fait emmitoufler par la lune d'une grande couverture étoilée.» (CR) |
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Joël da Silva. À
nous deux, présentée à la Maison Théâtre
par le Théâtre de l'Avant-Pays, mise en scène de
M. Frenette et M. Ranger.
«L'une des pièces les plus intelligentes qui m'ait été donné de voir à la Maison Théâtre. Intelligente en ce qu'elle fait appel à l'intelligence du jeune spectateur, et que sa clarté, sa limpidité sont une joie pour l'esprit. (...) Le texte de da Silva se déployait, lumineux, offrant entre autres des propos tout à fait judicieux sur l'acte d'écriture.» (DS) |
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Geneviève Billette, Le
pays des genoux, pièce présentée à
la Maison Théâtre par le Carrousel, mise en scène
par Gervais Gaudreault.
«...pour la justesse de l'interprétation de comédiens
pas beaucoup plus âgés que leurs personnages; pour la tension
dramatique et l'émotion qui affleure tout au long de la représentation,
mon coup de cur va au Pays des genoux.» (RB)
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Illustrations de Stéphane Poulin,
Un chant de Noël,
d'après Charles Dickens, 2004, Dominique et compagnie.
«Car il y a, dans l'atmosphère feutrée des paysages de Stéphane Poulin, une douceur infinie, silencieuse. Une douceur qui invite à la réflexion.» (FS) |
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Gilles Tibo (d'après les frères Grimm), Les
lutins et le cordonnier, illustrations de Fanny, 2005, Imagine.
«Dès qu'on ouvre le livre, le charme opère. Tibo a su choisir le ton et les mots, respectant l'époque où se situe l'histoire.» (CR) |
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Pierre Pratt, Le
jour où Zoé zozota, 2005, Les 400 coups.
«L'album Le jour où Zoé zozota est caractéristique
de l'humour et de l'imaginaire de Pierre Pratt. Humour absurde, souvent
subtil, quelquefois énigmatique, adressé aux adultes autant
qu'aux enfants...» (DS)
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Larry Tremblay,
Panda panda, pièce présentée à
la Maison Théâtre par le Théâtre en l'Air,
mise en scène par Robert Drouin.
«Ce bijou d'humour absurde séduit par ses jeux comiques hilarants rappelant les grands jours du cinéma muet et par son utilisation créative du multimédia.» (SM) |
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Dominique Demers, Tous
les soirs du monde, illustrations
de Nicolas Debon, 2005, Imagine & Gallimard.
«Il y a si longtemps que je cherchais ce livre... Trop peu d'albums
explorent le lien d'affection entre père et fils... Et rarement
avec ce degré de magie!» (IC)
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Christiane Duchesne, La
nuit des mystères, illustrations
de François Thisdale, 2004, Les 400 coups.
«François Thisdale crée un univers merveilleux en utilisant de multiples textures... L'ensemble dégage un mystère, une atmosphère poétique tout à fait en accord avec l'extraordinaire du récit.» (GL) |
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Marc Mongeau, La
maison de guingois, 2006, Les 400 coups.
«...la délicatesse tranquille et la fantaisie désarmante des aquarelles de Marc Mongeau s'accordent délicieusement pour lui permettre de nous donner à goûter un beau morceau de bonheur.» (IC) |
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Hélène Dorion,
La vie bercée, illustrations de Janice Nadeau,
2006, Les 400 coups.
«Un album remarquable, dont le sens ne s'épuise pas rapidement, alors on y revient et on admire encore.» (GL) |
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Élyse Poudrier, Un
automne entre parenthèses,
2006, Québec Amérique.
«Cette suite des Vacances à temps partiel, mettant en vedette les personnages d'Anouk et de Gilligan, est écrite dans une langue vive et naturelle.» (SM) |
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Francis Monty, Léon
le nul, création du Théâtre des Bouches
Décousues présentée dans le cadre du Festival mondial
des Arts pour la jeunesse, mise en scène par Gill Champagne.
«Faisant appel à l'intelligence des spectateurs par son univers quasi surréaliste, ce spectacle, qui parle d'intolérance, est touchant et atteint son objectif de faire réfléchir en divertissant.» (RB) |
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Fabrice Boulanger, Archimède
Tirelou inventeur,
2005, Michel Quintin.
«Mon coup de cur va à la recherche, à la découverte
et à la fantaisie d'Archimède Tirelou inventeur...»
(FS)
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Tatsuharu Kodama, Le
tricycle de Shinichi, illustrations de Judith Boivin-Robert,
2005, Les 400 coups.
«C'est un livre coup-de-poing parce qu'il nous oblige à réaliser la cruauté de la guerre et, en même temps, c'est un cri du cur pour sauvegarder la paix "pour que les enfants puissent continuer à faire du tricycle"» (DC) |
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Dominique Demers, Pétunia,
princesse des pets, illustrations de Catherine Lepage, 2005,
Dominique et compagnie.
«On rit ferme en lisant les nombreuses descriptions de pets dont l'auteure parsème son récit. On pense aussi aux horaires étourdissants de nos enfants et au temps qui leur manque parfois pour tout simplement jouer librement.» (DC) |
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François Gravel, David
et le salon funéraire, illustrations de Pierre Pratt,
2005, Dominique et compagnie.
«Merci à François Gravel et Pierre Pratt pour ce petit David si vivant et si touchant de candeur et de lucidité.» (CR) |
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Yves Nadon, Ma
maman du photomaton, illustrations de Manon Gauthier, 2006,
Les 400 coups.
«Yves Nadon a su décrire, sans verser dans le psychologisme, le deuil éprouvant, mais bien vécu de cette petite fille qui se souvient de sa mère.» (IC) |
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Mélanie Watt, Frisson
l'écureuil, 2006, Scholastic.
«Il m'a tout de suite charmée par son humour tout à fait hilarant. Frisson l'écureuil a fait son entrée dans ma vie, dans un brouhaha de rigolades.» (DC) |
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Élaine Turgeon, Ma
vie ne sait pas nager, 2006, Québec Amérique.
«... pour faire entendre la voix d'une survivante ou pour explorer des manières de dépasser l'affliction. C'est ce que fait l'écrivaine avec délicatesse, avec justesse...» (DS) |
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Suzanne Lebeau, L'Ogrelet,
Compagnie l'Artifice,
lors des Coups de Théâtre 2006.
«Quand le théâtre pour les enfants atteint une telle maîtrise, les catégories tombent. Le jour où un théâtre institutionnel non spécialisé en jeunes publics accueillera dans sa saison une telle production, on pourra croire que le clivage entre les milieux du théâtre se sera enfin atténué.» (RB) |
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Badiâa Sekfali, Farouj
le coq, illustrations de Jean-Marie Benoît, 2007, Les
400 coups.
«Une histoire riche de toutes ses pages avec quelques complications bien amenées et des illustrations parfaitement adaptées au sujet de la transformation.» (FS) |
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Danielle Simard, La
petite rapporteuse de mots, illustrations de Geneviève
Côté, 2007, Les 400 coups.
«...mais surtout la profondeur du lien unissant Élise et sa mamie, ce lien unique entre un enfant et un grand-parent, dont la puissance sait rallumer cette petite lumière au fond des yeux.» (CR) |
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Hélène Vachon,
L'arbre tombé, 2007, Québec Amérique.
«Il y a ici une préoccupation et une qualité littéraires évidentes. La sensibilité psychologique et l'émotion dominent.» (GL) |
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